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Quelques articles concernant les BINDELS.

Les retrouvailles de la famille Bindels

M. Joseph Bindels est né 2 Moresnet en 1864, alors que sa future sépouse, Mme Gertrude Hagelstein avait vu le jour a Moresnet-Neutre. Cette union a été bénie par la naissance de cinq enfants qui, à leur tour, ont déjà donné la vie à vingt et un petits-enfants.

C'est toute cette descendance qui, samedi soir, au Sélect à La Calamine, s’est rencontrée autour d’une table bien garnie et, assurément, ces retrouvailles ont permis de faire plus ample connaissance.

Mais déjà, le prochain objectif sera de réunir toute Ia famille, arriere-petits-enfants y compris. Les premieres estimations dépassent, à I’heure actuelle, les 160 personnes. Mais, ce rassemblement là, ce n’est pas encore pour tout de suite. (Photo - Le Courrier 1984???).

Avec l'aimable collaboration de : Christian Schreuder (Welkenraedt).


Bières allemandes au PEROU - Fredrich Bindels.

Les brasseries les plus importantes fondées et possédées par des Allemands sont « Compañía Nacional de Cerveza » plus tard connu sous le nom de « Pilsen Callao » et « Cervecería Alemana » qui ont changé leur nom en « Cervesur ».

La première brasserie établie officiellement dans le port de ville de Callao en1863 semble-t-il, produisait déjà avant cette date sous le nom du citoyen allemand Fredrich Bindels qui l'a vendu à l'Alsacian Alois Kieffer en 1869.

Dans les années suivantes, cette bière gagna des prix à Lima (1872 et 1876) et à Paris (1878).

Après le décès de Kieffers, mort en mai 1888, son épouse et ses enfants ont essayé de continuer à gérer la compagnie, mais, finalement, elle a été vendue à un groupe d'investisseurs péruviens et italiens en 1902.

« Pilsen Callao » était un symbole de bonne tradition brassicole péruvienne jusqu'à en 1994 où toutes les actions ont été vendues à Backus et à Johnston...

Avec l'aimable autorisation de : bierdeckelsammler.net

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Artiste Peintre - Willy Bindels 1908-19(64-65 ?).

Très remarqué sur les quais par les concarnois, Willy Bindels avait la réputation d'un peintre "original " le plus souvent " entre deux eaux ".

Enfant maladif au cœur fragile, il est né à Vaals en Hollande.

Après le décès de son épouse, il arrive de Bruxelles en 1948 en direction de l'Espagne et s'arrête à Concarneau pour y passer un mois.
Il se fixe dans la ville des peintres et ouvre un atelier avenue de la gare.
Selon Madame Vaslet "la lumière bretonne le troublait et il s'est longtemps mis en colère faute de pouvoir la traduire.

Il allait sur le sujet, sillonant la bretagne à vélomoteur. avec son matériel sur le porte-bagage.

Il interprêtait sa vision ensuite en atelier.
Il n'a exposé qu'une seule fois à l'hôtel Rayer, et vendait ses peintures à des " connaissances ".

Il décède en 1964-65 à la suite d'un accident cardiaque.
Ses œuvres, très structurées, parfois "baclées" expriment avec une violence expressionniste des paysages majoritairement urbains.

Elles proposent une interprêtation exacerbée, un regard singulier en opposition à la kyrielle des sujets trop souvent académiques consacrés à Concarneau.

Sources : concarneau-peintres.fr

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Commandant Victor Bindel (Avranches - France)

Victor Marie Louis Bindel, né à Huisnes-sur-Mer le 9 août 1883 est mort à Avranches le 5 juin 1962.
Il est incorporé au 48e régiment d'infanterie le 4 novembre 1904 à Guingamp (Côtes d'Armor) et gravit les échelons (caporal, sergent, sergent chef en 1907 et sergent fourrier en 1912).

Il se marie le 1er décembre 1908 avec Marie Gauchet et sera père de deux filles.

Le 5 août 1914, il est affecté au 202e régiment d'infanterie de réserve comme sergent-major, puis sous-lieutenant en 1915. Ce régiment formé à Granville dans les premiers jours du mois d'août 1914 est composé de réservistes issus de l'Avranchin et du Mortainais, il part en train pour le front et participe à plusieurs attaques.
Victor Bindel est blessé par balle à la tête le 7 juin 1915 au Bois-Sabot dans la commune de Souain (Marne), puis évacué.
Il rentre au dépôt avec le grade de lieutenant.

Il est ensuite désigné comme instructeur au centre des aspirants de Saint-Maixent (Deux-Sèvres).
Promu capitaine en 1920, il est en mission au Maroc de 1921 à 1923.

De retour à Avranches, il achète, en 1930, une maison au 52 rue de Mortain, dans la portion de rue qui deviendra rue du Commandant-Bindel. Il y demeure jusqu'à son décès, ainsi que sa veuve et sa dernière fille, propriétaire jusqu'en 2007.

Il est vice-président de l'association des « coloniaux de l'Avranchin ».
Mobilisé le 25 août 1939 alors qu'il était en retraite, il participe en juin 1940 aux combats autour de Cherbourg contre l'invasion allemande du Cotentin.
Quelques heures avant l'armistice, il ordonne à tous les postes du secteur d'Octeville sous son commandement de résister à outrance face à l'offensive allemande. Il évite ainsi aux milliers de soldats de la garnison d'être faits prisonniers.

Cela lui vaut les félicitations du général, commandant la place.
Il est fait prisonnier le 18 juin 1940.

Rentré dans ses foyers à Avranches, il crée en novembre 1942 le centre d'entr'aide des prisonniers de guerre et de leurs familles. Cela permet, dès février 1943, jusqu'à la fin de la guerre, d'envoyer tous les mois un colis à chacun d'eux et de venir en aide à leurs familles.

Après les bombardements de juin 1944, il organise les services d'entr'aide (distribution de vivres, vêtements, mobilier...) aux sinistrés d'Avranches et de six cantons.
Il est délégué, puis président d'honneur de ce centre d'entr'aide de 1944 à sa dissolution.
Le foyer Commandant-Bindel, situé place d'Estouteville, perpétue cette tradition.

Il est le premier maire d'Avranches élu après la Libération en 1945. Jusqu'en 1953, il œuvre à la Reconstruction d'Avranches avec Léon Jozeau-Marigné, alors conseiller municipal.
Il est notamment président de la Croix-Rouge jusqu'en 1961.

Hommages

À Avranches, la rue du Commandant-Bindel lui rend hommage, ainsi qu'une salle de réunions (le foyer du Commandant-Bindel).

Distinctions

  • Croix de guerre 1914-1918
  • Commandeur du Nicham El Amouar
  • Croix du combattant
  • Médaille coloniale
  • Chevalier de la Légion d'honneur par décret du 9 juillet 1924, en qualité de capitaine au 48e régiment d'infanterie.
  • Officier de la Légion d'honneur par décret du 10 février 1951, en qualité de président d'honneur du centre d'entraide des prisonniers et de leurs familles.


Sources : wikimanche.fr

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Histoire religieuse de Napoleon - Abbe Victor Bindel

  • Tome I : les Évêques de Bonaparte, preface de M. Paul Claudel;
  • Tome II : l'Église impériale. — Paris, Jouve, 1940. 2 volumes in-8° de 215 et 239 pages.
M. l'abbé Bindel publie deux volumes d'une Histoire religieuse de Napoléon qui semble elle-même devoir entrer dans le cadre d'une Histoire religieuse de la France an XIXe siècle.

Ces deux tomes ont pour sous-titres : les Évêques de Bonaparte et l'Église impériale, ce qui doit à peu près s'entendre comme suit : l'auteur étudie d'abord la formation des cadres ecclésiastiques de la France sous le Consulat, jusqu'au sacre; puis la vie intérieure de l'Église gallicane reconstituée.

Un troisième tome annoncé, le Vatican à Paris, nous conduira à la politique religieuse de Napoléon en Europe et au conllit de l'empereur et du pape.

Le propos est vaste et séduisant. La réalisation, malheureusement, est jusqu'ici décevante.

(André Latreille)

Sources : persee.fr

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